photo Kristine TISSIER, rétrospective de l'œuvre peint (1954-2009) / Katy BARRAULT, sculptures récentes

Kristine TISSIER, rétrospective de l'œuvre peint (1954-2009) / Katy BARRAULT, sculptures récentes

Exposition, Dessin - Collage

Juigné-sur-Sarthe 72300

Du 25/05/2024 au 28/07/2024

Kristine TISSIER est née en 1928 a` Segré dans le Maine-Loire. Diplômée des Beaux-Arts de Paris. Admiratrice de Jean Fautrier et de Zao Wou-Ki, elle s’oriente vers les effets de matière brute, ou` la sculpture n’est pas très loin. Un mélange d’enduits et de sables, dont la composition exacte demeure secrète, lui permet de texturer et structurer sa peinture. Force et délicatesse se rejoignent dans une poétique ou` se devinent des allusions pariétales, rocheuses mais aussi océaniques Kristine Tissier appose, gratte, sculpte des contrées vierges, vallonne ainsi d’immenses espaces baignées d’ombre et de lumière. De nombreuses expositions jalonnent sa carrière artistique : des galeries parisiennes comme la galerie Hoche ou celles de Suzanne de Conynck et d’Iris Clert dans les années 1970, en passant par les galeries Fontaine, Bénézit, Castel ou Larock- Granoff, jusqu'à celle de Mireille Batut d’Haussy en 2001, ainsi qu’en Espagne (galerie Séquier, Madrid) ou` elle a vécu quelque temps ; elle est aussi une habituée des Salons parisiens. Dans les années 1970, Kristine Tissier fait partie du groupe des « 12 de la rue de la Procession » dans une exposition de la Ville de Paris ou`[...]

photo LE LIVRE DE MADRIGAUX

LE LIVRE DE MADRIGAUX

Le Mans 72000

Le 23/01/2022

Dans le cadre de Le Mans Sonore, L'Ensemble Offrandes propose le Livre de Madrigaux 23 janvier, 10h30, 14h30, 18h30 Avec Amélie Castel soprano - Sophie Mourot mezzo - Renaud Mascret ténor - Maxime Battistella baryton - Olivier Bizot basse Musique de Martin Moulin, d’après les poèmes de Dino Campana Cinq chanteurs et chanteuses gravitent autour du public dans un espace de jeu circulaire. Ce Livre de madrigaux tente de perpétuer la tradition de la polyphonie vocale a cappella des XVIème et XVIIème siècles tout en intégrant la relation entre la voix et le corps. Cette création met en jeu nombre de possibilités ouvertes par ce dialogue : que devient le corps du chanteur ou de la chanteuse lorsque le son est « coupé » (trace du travail vocal où l’œil fait se remémorer l’oreille) ? Comment écoute-t-on quand la voix semble naître du mouvement corporel ? Et puis comment apprécie-t-on à nouveau un madrigal retrouvant les codes classiques (chanteurs immobiles, corps secondant la voix) ? Le Livre de madrigaux est écrit sur-mesure pour un quintette vocal aventureux, désireux de prendre des sentiers inattendus, et parfois déstabilisants ; heureux de participer de l’intérieur à l’écriture[...]